Traduit en français par Kelsey Fixter, Emma Fortney, Taylor Campbell.
Redoutez-vous cette période de l’année?
Le moment où la majorité de la journée se passe dans l’obscurité, où les devoirs deviennent interminables et où l’esprit des fêtes s’est éteint. Lorsque vous vous sentez constamment léthargique, démotivé et généralement pas vous-même.
Si c’est le cas, vous pouvez éprouver le trouble affectif saisonnier (TAS).
Le TAS, le plus couramment nommé la dépression saisonnière, est une forme de dépression qui correspond au changement des saisons, généralement à la transition de l’été à l’hiver.
Des symptômes du TAS peuvent entrainer des difficultés minuscules de notre quotidien, tel que du sommeil excessif, un faible niveau d’énergie et des modifications de l’appétit. Cependant, les symptômes peuvent aussi être plus graves, y compris l’anxiété, la dépression et des sentiments de désespoir.
C’est extrêmement commun que les étudiants universitaires souffrent du TAS, en particulier pendant le semestre d’hiver.
Pourtant, le plus souvent, les étudiants rejettent les symptômes du TAS et pensent expérimenter juste un « coup de blues de l’hiver ». En réalité, le TAS ne devrait pas être négligé et doit être pris au sérieux.
Il est important que les étudiants comprennent totalement les causes du TAS et la façon dont ils peuvent le combattre afin de préserver leur santé mentale et physique.
Dr Jan Hall examine le TAS chez les étudiants des collèges dans son article sur TimelyMD : « Le TAS a été associé à un déséquilibre biochimique dans le cerveau qui est incité par les heures de lumière plus courtes et moins de soleil pendant l’hiver ».
De plus, les étudiants ont tendance à passer plus de temps à l’intérieur, seuls, pendant les mois d’hiver à cause des températures froides et de la quantité de devoirs.
Voici quatre étapes simples que vous pourriez prendre pour réduire les effets du TAS.
- Classez votre santé mentale et bien-être physique en priorité. Consacrez une partie de votre temps loin du travail scolaire, mangez des aliments sains, ayez un sommeil régulier et participez à quelque forme d’activité physique.
- Essayez d’étudier dans un autre endroit que celui où vous dormez. Allez visiter un point d’étude sur le campus, un café ou la bibliothèque publique.
- Sortez dehors. Jan Hall suggère qu’entre vingt minutes et une heure d’exposition à la lumière chaque journée peut affecter les symptômes du TAS positivement.
- Utilisez les ressources du campus. Visitez le Centre de Santé à Laurier et parler avec un conseiller. Faites un rendez-vous au domaine athlétique ou joindre un club qui vous intéresse.
Parler avec vos amis, votre famille et vos camarades de classe peut aider aussi.
Si les « blues de l’hiver » semblent vous affecter extrêmement fort cette année, souvenez-vous que vous n’êtes pas seuls. Environ quinze pour cent des Canadiens seront confronté au TAS au cours d’une vie.
Il peut être facile de succomber à ses effets. N’attendez pas le printemps pour vous sentir comme vous-même encore ; prenez les étapes nécessaires en combattant le TAS et demandez de l’aide quand vous en avez besoin.
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